Le festival pourquoi

La mise en place d’un festival de musique africaine devenait alors le moyen de récolter des fonds pour concrétiser nos projets. De 1997 à 2006, ce festival se produisait sur deux jours : le premier week-end de juillet.

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Un site à ciel ouvert

Ce festival se déroulait sur les prés de la commune de Saint-Pantaly d’Excideuil généreusement prêtés par les propriétaires terriens. Les festivaliers pouvaient y trouver un cadre agréable au bord des rives de la Loue, au milieu de champs verdoyants. Qu’il s’agisse des organisateurs ou des festivaliers, le site de Saint-Pantaly accueillait une population très hétéroclite, où tous les milieux sociaux et tous les âges se croisaient. Notre festival se trouvait être une fête populaire qui se déroulait dans une ambiance conviviale et familiale à la fois.

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De la musique africaine

Piliers du festival, les groupes de musiciens donnaient le rythme de la fête et participaient à son succès. Notre programmation valorisait la découverte d’une culture musicale africaine tant traditionnelle, avec ses percussions, ses danses et ses chants, que contemporaine, avec ses mélodies à tendance reggae, groove ou jazzy. Le festival, c’était également la promotion de groupes locaux périgourdins afin de les aider à se faire connaître. Ainsi, depuis 7 ans, nous avons pu proposer au public une diversité de musiques provenant de pays aussi différents que le Burkina Faso, la Haute Guinée, la Côte d’Ivoire, le Burundi et bien sûr le Sénégal. Enfin, pour le plaisir des jeunes, des conteurs ont occupé plusieurs fois le devant de la scène, les amenant pour un moment au cœur des légendes typiquement africaines.

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Un marché « africain »

Dans l’enceinte même du festival, un marché était installé : les stands se suivent et ne se ressemblent pas. Pour les visiteurs périgourdins, les statuettes d’ébène, les épices odorantes, les tentures aux dessins naïfs, les vêtements aux imprimés ethniques et multicolores sont une autre manière d’apprécier l’art et la culture africaine. Très prisé, ce marché était un lieu de promenade et de découvertes.

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Un stand de présentation de l’association

Il accueillait tous ceux qui désirent mieux connaître l’association et ses actions menées en Afrique. Un ensemble de photos commentées retrace l’histoire des réalisations ainsi que les projets à venir. C’est aussi l’occasion de goûter des spécialités sénégalaises : bissap [1], arachides, cola, pain de singe [2] … .

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Un vrai geste de solidarité

Enfance Action ne pourrait vivre et grandir sans l’ensemble des bénévoles adhérents ou non à l’association. Que les bénévoles agissent par citoyenneté, par engagement associatif ou par amitié, il existait un véritablement engouement de la population locale pour que le festival puisse avoir eut lieu et pour que ce soit une réussite.

Si l’association comptait une trentaine d’adhérents, nous étions trois fois plus nombreux à assurer le bon déroulement du festival. Au fil des ans, le festival s’était intégré et participe à la vie du tissu social, associant les communes avoisinantes toujours plus présentes pour appuyer les besoins en logistique.

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Le festival a été arrêté depuis 2007, car une fois les comptes établis l’association s’est rendu compte que la plupart de la recette du festival allait dans le payement du festival ; et que la partie de la recette qui allait au Sénégal était égale ou inférieure à d’autres actions faites par l’association. Donc l’association décida de l’arrêter pour minimiser les coûts et intervenir plus souvent au Sénégal.

[1plante infusée et servi fraiche (un thé glacé sénégalais)

[2fruit du baobab servi pressé

Les Tambours du Burundi - Le groupe Les Tambours du Burundi sur scène lors du festival de 2004.
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